La rencontre face aux Seychelles le vendredi dernier a été comme la goutte d'eau qui a débordé le vase : longue attente. Quoique venir avec son propre véhicule bien qu'il existe des parkings au stade, ne change rien. On vous oblige de le garer quelque part pour monter dans un bus. Puis descendre et exécuter une marche d'au moins 4 km pour atteindre enfin le stade. Et pendant ce temps, le match se déroule. 

Comment dans ces conditions susciter un élan de mobilisation tout azimut autour de nos Pachydermes ?  Le COCAN veut-il que des ivoiriens se rendent nombreux dans les stades pour la réussite de l'événement ? Abidjan et Ebimpé ne sont pas des cas isolés. D'autres témoignages, pas reluisants, viennent aussi de Yamoussoukro.

Les autorités ivoiriennes doivent revoir leur méthode d'accès aux stades et ne pas prendre ceux qui veulent apporter une pierre à la réussite de notre CAN comme des Moutons. Parce que ce n'est pas évident de quitter sa maison dès 11heures et y revenir à minuit avec toutes sortes de tracasseries subies. Beaucoup ont décidé de ne plus y mettre les pieds. 

Vivement un changement de dispositif sécuritaire avant la catastrophe...