La déclaration de la patronne du CN-FIF voulait dire que le sport roi local était malade avant sa nomination à la présidence de l'organe de gestion de discipline reine.

Cela fait 9 mois que la première responsable du comité de normalisation est aux affaires. On constate que les attentes sont très en-deçà des espérances. En effet, depuis qu'elle est arrivée à la tête de la FIF, les choses vont de mal en pis.

Après l'épisode de l'organisation des compétions au rabais, dont les effets sont visibles avec l'élimination des représentants ivoiriens en coupes africaines, la non préparation de l'équipe olympique pour les JO, l'instauration d'une ségrégation au niveau  du paiement des primes chez les Éléphants, les arriérés de salaires du sélectionneur des Orange-Blanc-Vert et de son adjoint, on se retrouve dans une autre situation handicapante   où le système de qualification des licences est défaillant.

 Au moment où Gabala dit vouloir lancer la Ligue 1, le 20 novembre prochain, toutes les demandes de licences faites par les clubs ne peuvent pas être traitées. Et pour cause, le nouveau système de qualification de licences, à savoir FIFA Connect, qui a remplacé l'ancien, le System Narsyl, n'est pas fonctionnel. Il en est de même du Systeme de transfert TMS.

Par ailleurs, le CN-FIF demande que tous les joueurs enregistrés la saison dernière et celle d'avant, et ce,  en mettant en piéces jointes leurs extraits de naissance, redonnent leurs extraits de naissance. Et pourtant, ces documents administratifs peuvent être retrouvés dans les archives.

Comme on le constate, Mariam Dao Gabala, qui a remplacé l'ancien système de qualification des licences, le System Narsyl, par un nouveau, FIFA connect, ce dernier, dont ses employés ne maîtrisent pas, pour l'instant, le fonctionnement, empêche les qualifications des licences.

Face à l'incapacité à  qualifier les licences, comment les championnats annoncés pour débuter au mois de novembre pourront-t-elles avoir lieu ?